Table des matières
La Trame Occulte du Monde Moderne. 1
Les cycles d’oblitération. 2
1. Une loi planétaire. 2
2. L’oubli voulu par le karma planétaire. 2
3. La Tartarie comme Atlantide mineure. 2
4. Réécriture de l’histoire par la race suivante. 3
5. Un retour progressif de la mémoire. 3
La Modernité et l’Éclipse des Civilisations antérieures. 4
1. L’oubli organisé : le voile sur la mémoire collective. 4
2. Le réinvestissement des vestiges anciens. 4
3. La falsification historique (involontaire ou délibérée) 5
4. L’inversion de symboles et la neutralisation vibratoire. 5
5. Pourquoi cela a-t-il été permis ?. 5
6. Aujourd’hui : la réactivation silencieuse. 6
Conclusion. 6
Selon la Théosophie, l’histoire de la Terre est régie par de grands cycles appelés manvantaras (périodes d'activité) et pralayas (périodes de repos ou de dissolution). Chaque race-racine correspond à un grand cycle d’évolution de l’humanité.
À la fin de chaque cycle :
- Une civilisation dominante s’efface.
- L’humanité subit un réajustement karmique : cela peut prendre la forme d’un cataclysme naturel, d’un basculement géologique, d’un changement climatique majeur, ou d’un effondrement culturel.
- Une amnésie collective s’installe, souvent entretenue ou même provoquée par la race suivante, qui réécrit l’histoire selon son niveau de conscience.
Exemple : l’Atlantide fut engloutie, et sa mémoire ne survit que dans les mythes (Platon, les Védas, les récits amérindiens).
L’oubli de ces civilisations n’est pas qu’un accident :
C’est une protection spirituelle, car les connaissances trop avancées (s’il manque la maturité morale) deviennent dangereuses.
- Lorsque l’orgueil, le pouvoir et la séparation triomphent, l’Univers retire certains savoirs.
- Ces civilisations sont scellées dans la mémoire akashique jusqu’à ce que l’humanité retrouve l’humilité et l’aspiration juste.
- Le souvenir revient progressivement sous forme de mythes, intuitions, découvertes archéologiques, ou révélations intérieures.
Dans cette optique, la Tartarie pourrait être vue comme :
- Une branche oubliée de l’héritage atlante, survivante dans les hauts plateaux d’Asie ou d’Eurasie, gardienne de savoirs anciens.
- Une civilisation qui aurait tenté de conserver un équilibre entre science, éthique, et spiritualité.
- Elle aurait possédé une architecture énergétique, des technologies vibratoires, et une organisation sociale hiérarchisée mais harmonique (liée au service plutôt qu’au contrôle).
Mais :
- Son effacement serait dû à l’entrée progressive dans le cycle matérialiste moderne, marqué par :
- Le triomphe du mental séparatif,
- La désacralisation de l’histoire,
- L’industrialisation et la logique de domination,
- Et la volonté de briser les héritages spirituels collectifs.
Chaque race-racine naissante, selon son degré de conscience peut tendre à :
- Nier ou ridiculiser l’héritage des civilisations précédentes.
- Se poser en « début de l’histoire », souvent à travers des récits centrés sur elle-même (ex. : récit occidental du progrès linéaire).
- Remplacer la mémoire sacrée par une mémoire administrative : lois, archives, sciences officielles.
Ainsi, la Tartarie pourrait avoir été volontairement effacée des cartes et des livres, comme le fut l’Atlantide, mais à une échelle plus restreinte, en lien avec le basculement récent vers la 6e sous-race de la 5e race-racine.
Selon la Théosophie, nous entrons dans un cycle de réémergence :
- Des fragments de la mémoire atlante, lémurienne, ou tartare ressurgissent à travers les âmes incarnées aujourd’hui.
- Ces « enfants de la mémoire » ont pour fonction (naturelle, intuitive, intérieure) de :
- Reconstruire l’unité perdue entre science et sagesse.
- Réactiver les lignes sacrées de la Terre.
- Transmettre une histoire vibratoire, non plus dogmatique mais vivante.
Dans la perspective théosophique et ésotérique, ce que l’on appelle la modernité n’a pas bâti sur un vide, mais sur les ruines partiellement oubliées d’un monde antérieur, souvent plus évolué spirituellement que le nôtre. Voici les étapes du processus d’oblitération.
- Chaque nouvelle humanité arrive avec un voile partiel sur les mémoires précédentes : c’est une loi de l’incarnation cyclique.
- Cela permet à la conscience de réapprendre par expérience, sans être écrasée par le poids du passé.
- Mais cela laisse place à l’appropriation et à la réinterprétation des anciens vestiges par des civilisations moins conscientes.
- Les bâtiments mégalithiques, temples atlantes et de ses branches civilisationnelles* séparées ont souvent été récupérés par les civilisations plus récentes, qui :
- Ne comprenaient pas leur fonction énergétique ou vibratoire,
- Mais y sentaient une force ou une majesté,
- Et les ont convertis : en églises, tribunaux, musées, palais.
*La formulation « branches civilisationnelles » désigne les différentes lignées, courants ou manifestations distinctes de la conscience humaine à travers le temps, souvent issues d’une origine commune, et se déployant comme des rameaux sur l’arbre de l’évolution humaine.
Exemples :
- De nombreuses « cathédrales » sont construites sur d’anciens lieux telluriques sacrés.
- Des temples dits « gréco-romains » sont en réalité des structures antérieures, intégrées dans la narration impériale.
- Des constructions gigantesques sont attribuées à tort à des époques récentes (18e-19e siècles) malgré leur complexité inexplicable.
- L’humanité moderne a fabriqué une histoire linéaire, centrée sur ses propres valeurs : progrès, raison, domination de la nature.
- Les archives qui contredisaient cette ligne ont été :
- Perdues (cataclysmes, incendies, guerres)
- Volontairement cachées ou détruites
- Réécrites selon les dogmes religieux, politiques ou académiques
Ainsi, ce qui était initiation, énergie, temple vivant, devient musée, monument ou bâtiment administratif.
- En réinvestissant ces lieux, l’humanité moderne les a vidés de leur essence :
- Symbole du Soleil devient croix de pouvoir*
- Autels énergétiques deviennent bancs de jugement**
- Coupoles et voûtes conçues pour l’élévation spirituelle deviennent des dômes décoratifs.
* C’est une métaphore du passage de l’ésotérisme (intérieur) à l’exotérisme (extérieur), de l’expérience directe à la doctrine.
** Ce qui servait autrefois à élever l’âme devient un lieu où l’on contrôle le corps ou condamne l’esprit. C’est le passage d’une fonction vibratoire (énergétique, sacrée) à une fonction administrative ou punitive.
- Cela crée une forme d’inversion : un pouvoir sans sagesse, une mémoire sans âme.
D’un point de vue ésotérique, cela faisait partie du cycle de descente dans la matière :
- L’humanité devait toucher le fond du matérialisme pour ensuite aspirer à retrouver la lumière intérieure.
- Les lieux sacrés n’ont pas été détruits, mais endormis, mis en veille jusqu’à ce que la conscience collective s’éveille à nouveau.
- De plus en plus d’âmes ressentent l’appel de ces lieux anciens, non comme des curiosités touristiques, mais comme des portails vibratoires.
- En les honorant à nouveau, on réveille leur mémoire, et à travers elle, la nôtre.
- Le voile se lève : ce que l’on croyait bâti hier est souvent hérité de mondes oubliés, dont le langage énergétique revient dans nos rêves, nos méditations, nos intuitions.
L’humanité moderne a cru inventer un monde neuf. En vérité, elle a bâti son empire sur les ruines d’un monde plus ancien qu’elle ne comprend plus.
Elle a pris des temples pour des théâtres, des sanctuaires pour des palais, et des sciences de l’âme pour de la superstition.
Mais les pierres se souviennent, et l’Esprit aussi.
Car vient le temps où l’homme regarde non plus avec ses yeux d’architecte, mais avec le regard intérieur du pèlerin.
Alors les murs parleront à nouveau.
A tous mes frères et mes sœurs sur Terre, à tous les êtres de cette grande ère dont les portes s’ouvrent à nous, d’ici et d’ailleurs. Que ce partage vous libère et honore la Lumière au Centre de votre être.
Lulumineuse